Commentaires et avis
Commentaires et avis Villaggio il Gabbiano
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De la plume d'Alfredo D'Amato, un fidèle client du Villaggio Il Gabbiano.
Tiré du livre autobiographique “La vita dura un attimo”.
Tiré du livre autobiographique “La vita dura un attimo”.
Chaque matin, j'avais l'habitude d'aller à la plage, au lever du soleil, pour profiter de l'atmosphère de ce moment.
A l’improviste, un appel irrépressible arrivait: l'odeur des croissants fraîchement sortis du four.
A l’improviste, un appel irrépressible arrivait: l'odeur des croissants fraîchement sortis du four.
En se dirigeant vers le Cap, le plaisir de pagayer dans une mer cristalline faisait alors son apparition.
Après quelques heures, passées là avec de fréquentes baignades dans la mer, nous faisions demi-tour.
Nous avions le sentiment d'avoir accompli un petit exploit, une navigation.
Le temps d'une douche rafraîchissante et c'était l'heure du déjeuner.
Après quelques heures, passées là avec de fréquentes baignades dans la mer, nous faisions demi-tour.
Nous avions le sentiment d'avoir accompli un petit exploit, une navigation.
Le temps d'une douche rafraîchissante et c'était l'heure du déjeuner.
Les cuisiniers épiaient notre arrivée et nous apportaient des grissinis de pain fraîchement cuits, accompagnés d'huile d'olive et de nduja.
L'après-midi, on se reposait, on lisait, puis on retournait à la mer le soir.
Chaque soir, pour regarder le coucher du soleil, nous nous installions à une table sur une terrasse surélevée adjacente à la plage.
L'après-midi, on se reposait, on lisait, puis on retournait à la mer le soir.
Chaque soir, pour regarder le coucher du soleil, nous nous installions à une table sur une terrasse surélevée adjacente à la plage.
Depuis cette position, nous pouvions admirer la conclusion du voyage du Chariot du Soleil. Avant de plonger, il coloriait de rose le ciel en dessous, descendant lentement puis disparaissant soudainement.
Un peu avant de disparaître, il dégageait un rayon vert.
Bien des gens s'arrêtaient sur la plage pour le voir, mais tout le monde ne pouvait pas le faire, car seuls ceux qui avaient un cœur généreux y parvenaient.
Un peu avant de disparaître, il dégageait un rayon vert.
Bien des gens s'arrêtaient sur la plage pour le voir, mais tout le monde ne pouvait pas le faire, car seuls ceux qui avaient un cœur généreux y parvenaient.